Sacré champion Sud-Est en -80 kg, Nicolas Routier-Scappucci a dominé sa catégorie avec une maîtrise impressionnante. Retour sur sa compétition et ses performances.
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Et bah moi, c’est Nico. Du coup, j’ai 25 ans, je fais du Street lifting et voilà hein, on donne tout.
Comment t'as découvert le street lifting ?
Et Ben en fait j’ai commencé du coup un peu comme tout le monde avec le Street workout. Donc avec mon meilleur pote, on allait dans la Bastille à Grenoble où il y a les bulles et en fait, il y avait 2 barres de tractions. On a commencé en faisant 2 tractions en s’aidant des genoux pour faire les tractions. Puis on a continué, continué, on a connu le Street lifting et derrière ça a essayé de pousser au max !
Pourquoi ta décidé de participer à FNSL Sud-Est ?
Déjà, c’est bien de repousser ses limites. Avec la rigueur qu’on y met, la détermination qu’on y met, c’est bien de pouvoir se concurrencer avec d’autres personnes, voir ce que ça donne et ça motive encore plus.
Les muscle-up, c'était easy ou mission impossible ?
Les muscle up ? Ah c’est c’était compliqué quand même parce que j’ai fait un trop gros jump, je n’ai pas forcément géré au début, mais on est là, on a, on a géré le truc.
Tu as validé tes charges en traction ou tu es resté sur ta faim ?
Je reste sur ma faim parce que j’ai validé -1,25 par rapport à ce que j’avais fait la dernière fois. Mais on retournera au charbon pour envoyer beaucoup plus.
Et sur les dips ?
Ouais, j’ai explosé mes bars et plus il y avait de la marge. Donc c’est pour ça. Maintenant on va aller chercher beaucoup, beaucoup plus loin.
Et avec toute cette fatigue accumulée, tu t'es senti comment sur les squats ?
Je me suis senti super bien. C’était la fin. J’avais tous les amis avec moi, plus le coach, French Forge, pour aller chercher. Donc, on s’est énervé et on a peter ça.
Et si tu devais résumer ta compétition en un mot ?
Franchement incroyable. D’un parce que bah la compétition, franchement, c’est super cool. J’ai réussi à faire, entre guillemets, tout ce que je voulais, parce que j’étais super bien entouré. Et du coup, vraiment, c’était, c’était quelque chose de phénoménal !
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